« Les achats responsables » ou « achat durable » consiste à intégrer des critères de développement durable dans les pratiques d’achats.
C’est aussi savoir bien qualifier son besoin et le formaliser auprès de son fournisseur. Un processus d’achat durable implique un questionnement et des arbitrages constants, permettant de trouver des solutions à inventer.
Green Expertise vous propose de vous accompagner dans cette démarche.
Intégrer cette pratique dans la stratégie d’achats de l’entreprise.
Accompagner les acheteurs dans l’intégration de cette nouvelle politique d’achats.
Apporter des outils simples et pratiques pour faciliter cette nouvelle démarche.
Elaboration d’une stratégie «d’achats responsables ».
Aide à la rédaction de votre cahier des charges et de la charte fournisseurs.
Identification des indicateurs clés de suivi et accompagnement dans la mise en place d’un reporting.
Sourcing : choix et évaluation des prestataires responsables.
Formation à l’appropriation de cette nouvelle politique auprès des personnes effectuant des achats au sein de l’entreprise.
Un achat responsable désigne un achat de biens ou services auprès de fournisseurs sélectionnés selon des critères environnementaux, sociaux et éthiques, dans le but de minimiser les impacts négatifs et de promouvoir des pratiques durables.
Adopter une politique d’achats responsables permet de :
renforcer l’image et la crédibilité auprès des clients, partenaires et parties prenantes ;
maîtriser les risques fournisseurs (qualité, réputation, conformité légale) ;
optimiser les coûts à long terme en réduisant les déchets, les surcoûts liés aux non-conformités ou aux perturbations de la chaîne d’approvisionnement ;
favoriser l’innovation (ex : éco-conception, circuits courts).
Voici quelques critères essentiels :
performance environnementale (émissions de CO₂, consommation d’énergie, matériaux recyclés ou recyclables) ;
conditions sociales (droits humains, sécurité, non-discrimination, respect des normes du travail) ;
aspects éthiques (transparence, lutte contre la corruption, intégrité) ;
proximité / circuits courts / sourcing local ;
durabilité & longévité des produits ;
traçabilité et transparence de la chaîne d’approvisionnement.
Un plan de mise en œuvre peut suivre ces étapes :
Réaliser un état des lieux des pratiques achats actuelles et identifier les points d’amélioration.
Définir les objectifs et engagements (internes, sur les parties prenantes, les fournisseurs).
Établir une grille d’évaluation fournisseurs intégrant les critères responsables.
Sensibiliser / former les équipes achats et les parties prenantes.
Piloter / suivre les indicateurs de performance achats responsables.
Effectuer des audits fournisseurs, des revues et ajustements en mode amélioration continue.
Parmi les difficultés courantes :
résistance au changement ou manque d’adhésion interne ;
manque de données fiables sur les fournisseurs (transparence, traçabilité) ;
contraintes budgétaires ou coûts initiaux plus élevés ;
diagnostics complexes (évaluations sociales, environnementales) ;
gestion de la complexité dans les chaînes de fournisseurs multiples et transnationales.
Un achat responsable intègre les critères RSE (éthique, social, environnemental).
Un achat durable met davantage l’accent sur la durabilité dans le temps, la réduction de l’impact négatif à long terme.
Un achat circulaire vise à prolonger la durée de vie des produits, favoriser la réparation, la réutilisation, le recyclage, et envisager des modèles de service plutôt que de possession.
Pour mobiliser les fournisseurs, on peut :
établir une charte fournisseurs responsables qu’ils s’engagent à respecter ;
inclure les critères responsables dès les appels d’offres / cahiers des charges ;
proposer des formations, de l’accompagnement ou du soutien à l’amélioration ;
instaurer des audits / contrôles périodiques ;
valoriser les fournisseurs qui progressent (labels, communication, partenariats).
Voici quelques résultats tangibles :
réduction des impacts environnementaux (émissions, déchets, consommation de ressources) ;
amélioration de la résilience et de la sécurisation de la chaîne d’approvisionnement ;
meilleure réputation et différentiation sur le marché ;
économie à moyen / long terme (réduction des coûts cachés, des litiges, des risques de non-conformité) ;
stimulation de l’innovation chez les fournisseurs.
